Journée de novembre ensolleillée.
Encore quelques cartons. Plus que deux chaises.
Un tapis. Une lampe.
Tori amos qui chante mon malaise.
De l’echo à chaque pas que je fais.
Le silence de mes larmes.
La souffrance de mes sanglots.
Je ne peux pas m’arrêter.
Je pleure.
Devoir quitter ce lieu.
Tourner la page.
Je pleure.
J’ai mal.
Je voudrais tout arrêter.
Je pleure, seul.
Sans fin, je pleure.
Je n’en peux plus de pleurer.
Alors je pleure…
Lundi 26 novembre 2007 à 9:22
Il est si dur de lire ta souffrance et de se sentir impuissant face à cela.
On aimerait venir essuyer ces larmes et te faire aller mieux mais les peines ne sont jamais aussi simples à faire oublier.
Ce mot pour te dire que l’on pense à Toi.